- 1878
-
M. Pasteur a démontré que des organismes microscopiques, répandus dans l’atmosphère, sont la cause des fermentations attribuées à l’air qui n’en est que le véhicule et ne possède aucune de leurs propriétés. Ces organismes forment tout un monde, composé d’espèces, de familles et de variétés, dont l’histoire, à peine commencée, est déjà féconde en prévisions et en résultats de la plus haute importance. Les noms de ces organismes sont très-nombreux […] et devront être définis et, en partie, réformés. Le mot microbe […] ayant l’avantage d’être plus court et d’une signification plus générale, et mon illustre ami, M. Littré, le linguiste de France le plus compétent, l’ayant approuvé, nous l’adoptons, sans néanmoins renoncer à ceux en usage, pour la désignation de variétés plus particulièrement étudiées
Sédillot, L. (1878). De l’influence des découvertes de M. Pasteur sur le progrès de la chirurgie. Compt. Rend. Acad. Sci. Paris 86, 634-640: 634.
- 1878
-
M. Sedillot […] thinks the air may there be free from microbes
Anonymus (1878). [Paris, Academy of Sciences, March 11]. Nature 17, 416.
- 1880
-
Z. [Zündel] hat seine Untersuchungen in Verbindung mit dem auf dem Gebiete der mikrosk. Parasiten sehr berühmten Mr. Pasteur (Mitgl. des Instituts) vorgenommen und dabei gefunden, dass die Cholera der Hühner wie andere ansteckende Krankheiten von einem Mikroben (d. h. mikrosk. kleinen, pflanzlichen oder thierischen Parasiten) als einziger und spezifischer Ursache herrührt, der, wie die Bakterien des Milzbrandes, theils im Körper des erkrankten Thieres, theils ausserhalb desselben lebt
Anonymus (1880). [Ref. Zündel, Mittheilung über die Hühner-Cholera]. Repertorium der Thierheilkunde 41, 325-326: 326.
- 1880
-
Even impure air sent through putrefied meat, far from being charged with microbes, is entirely purified.
Anonymus (1880). Bacteria in the air. Science 1, 77.
- 1880
-
Die mittlere Zahl der in der Luft enthaltenen Mikroben ist im Winter schwach, vermehrt sich schnell im Frühling, bleibt sich im Sommer ziemlich gleich und vermindert sich im Herbst wieder.
Just, L. (1880). [Ref. Miquel, P. (1878). Des poussières tenues en suspension dans l’atmosphère]. Botanischer Jahresbericht 6, 454.