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milieumilieu (fr.); Milieu (ger.)
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An environment; surroundings, esp. social surroundings. (OED 2012)
- 1800
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Les principales [circonstances] naissent de l’influence des climats, des variations de température de l’atmosphère et de tous les milieux environnans, de la diversités des lieux, de celles des habitudes, des mouvemens, des actions, enfin de celle des moyens de vivre, de se conserver, se défendre, se multiplier, &c. &c.Lamarck, J.B. (1800). Discours d’ouverture du cours de zoologie, an VIII. Bulletin scientifique de la France et de la Belgique 40 (1906), 459-482: 465.
- 1809
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la diversité des milieux dans lesquels ils habitent
Lamarck, J.B. de (1809). Philosophie zoologique, 2 vols.: I, 231.
- 1809
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ces animaux doivent leur forme générale aux influences du milieu dans lequel ils habitent
Lamarck, J.B. de (1809). Philosophie zoologique, 2 vols.: I, 391.
- 1809
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les milieux qui environnent ces corps
Lamarck, J.B. de (1809). Philosophie zoologique, 2 vols.: I, 367.
- 1809
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milieux ambians
Lamarck, J.B. de (1809). Philosophie zoologique, 2 vols.: I, 367.
- 1809
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ces corps vivans absorbent des milieux environnans
Lamarck, J.B. de (1809). Philosophie zoologique, 2 vols.: I, 391.
- 1838
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Il serait superflu, j’espère, de motiver expressement l’usage frequent que je ferai désormais, en biologie, du mot milieu, pour désigner spécialement, d’une manière nette et rapide, non-seulement le fluide où l’organisme est plongé, mais, en général, l’ensemble total des circonstances extérieures, d’un genre quelconque, nécessaires à l’existence de chaque organisme déterminé.
Comte, A. (1838). La philosophie chimique et la philosophie biologique. In: Cours de philosophie positive, vol. 3: 301.
- 1838
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Une telle harmonie entre l’être vivant et le milieu correspondant caractérise évidemment la condition fondamentale de la vie. [...] Dans tous les degrés de l’échelle biologique, l’altération et la cessation de la vie sont, sans doute, au moins aussi fréquemment déterminées par les modifications nécessaires et spontanées de l’organisme que par l’influence des circonstances ambiantes
Comte, A. (1838). La philosophie chimique et la philosophie biologique. In: Cours de philosophie positive, vol. 3: 289.
- 1849
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L’idée de vie ne suppose pas seulement celle d’un être organisé de manière à comporter les phénomènes qui constituent l’état vital, elle suppose encore l’idée non moins indispensable: De l’ensemble total des circonstances ou agents extérieurs, physiques et chimiques, propres à fournir à l’être organisé les principes immédiats ou matériaux nécessaire à la nutrition et à la manifestation des autres propriétés de ses éléments anatomiques. C’est à cet ensemble de conditions qu’on donne le nom de Milieu.
Robin, C. (1849). Du microscope (Deuxième partie): 120.
- 1852
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tout être vivant, fût-il réduit à l’existence végétative, modifie sans cesse le milieu qui le domine
Comte, A. (1852). Système de politique positive, vol. 2: 37; cf. Braunstein, J.-F. (1997). Le concept de milieu, de Lamarck à Comte et aux positivisme. In: Laurent, G. (ed.). J.-B. Lamarck 1744-1829, 557-571: 563.
- 1860
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la science des milieux ou Mésologie
Bertillon, L.-A. (1860). Revue de biologie. Presse scientifique des deux mondes. Revue universelle du mouvement des sciences pures et appliqués 1, 119-131: 125; cf. Müller, G.H. (1988). Le terme «mésologie» comme nouvelle détermination de la science des rapports des êtres vivants avec leur milieu. In: Groult, M. (ed.). Transfert de Vocabulaire dans les Sciences, 103-112.
- 1865
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milieu extérieur ou extra-organique [...] milieu intérieur ou intra-organiqueBernard, C. (1865). Introduction à l’étude de la médecine expérimentale: 108.
- 1871
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die Einwirkung des Milieu im OrganismusBastian, A. (1871). Reisen in China von Peking zur mongolischen Grenze und Rueckkehr nach Europa: xxxviii.
- 1907
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der Organismus [bildet] mit seinem Milieu zusammen ein zweckmäßiges Ganzes
Uexküll, J. von (1907). Die Umrisse einer kommenden Weltanschauung. Die neue Rundschau 18, 641-661: 651.
- 1916
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Eigenschaften des sie [d.i. die Organismen] umgebenden MilieusThienemann, A. & Kieffer, J.J. (1916). Schwedische Chironomiden. Arch. Hydrobiol. Suppl. 2, 483-553: 485.
- 1952
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Milieu [als] die energetischen, physikalisch-chemischen und sonstigen allgemeinen Umgebungsbedingungen, die für die Durchführung der dumpfen Wachstums- und physiologischen Lebensprozesse erforderlich und für jede Spezies erblich festgelegt sind
Storch, O. (1952). In: Brock, F. et al., Das Umweltproblem. In: Plessner, H. (ed.). Symphilosophein. Bericht über den Dritten Deutschen Kongreß für Philosophie. Bremen 1950, 323-353: 328.